Toru dompte le froid

Gentillement une porte s'ouvre laissant sortir un jeune garçon dans une veste épaisse beige. La fourrure qui orne sa capuche recouvre ses yeux. La main sur la poignée, il la plaça dans sa poche pour protêger ses mains du forid. Il s'avança et referma la porte avec sa seconde main qu'il plaça également dans une poche du manteau. Il s'avança hors de la propriété et marcha dans la rue principale. Il tournait sa tête pour regarder les boutiques qui s'y trouvait. Ce matin, il n'avait pas encore manger et rentra dans un petit café à la facade très sympathique. La porte bouscula un fil qui se tendit pour faire tinter une petit clochette. Elle dégagea un son aigu pour informer l'arrivé d'un client. Une serveuse regarda le Garçon qui s'asseyait à une table. Elle s'avança vers lui en passant sa main dans ses long cheveux noire. Le garçon avait la tête baissée et vit une main aux ongles soigneusement manucuré. Une voix douce suivit ce geste. Elle voulait savoir ce qu'il prendrait. Levant légèrement la tête, il répondit qu'il désirait un chocolat chaud accompagné d'un pain au chocolat chaud également. Il ahouta un "s'il vous plait" puis attendit que sa commande arrive. La femme fit son travail assez rapidement et apporta sa consommation. Le garçon remercia la serveuse et lui dit qu'il payerait quand il aurait fini. Elle aquiesca d'un sourire et partit servir d'autre client, faire son boulôt. Le bruit autour de lui le génait que très peu puisqu'il essayait d'oublier cette population de café, constitué d'infame crapule qui dès qu'il le pouvait, attaquait les plus faible. Le soupir qu'il lâcha fut révêlateur. L'instant d'après, il entendit des pas venir l'entourer et après quelques secondes, l'un d'eux dit d'une voix grâve :

"Hé toi, je suppose que si tu es là c'est que tu as de quoi payer. Alors donne le fric !"

Le garçon bu une gorgée de son verre et répondit qu'ils pouvaient se brosser avant d'avoir son argent. Il sentit une main se poser sur son épaule et qui l'empoignait. Aussitôt, le capuchonné se leva et plia le bras du garçon pour ensuite le pousser au sol. Il se retourna, finit d'un coup sec son verre de chocolat chaud et s'essuiya les lêvres. Les hommes qui restaient arrivèrent sur le buveur qui se décala rapidement en soulevant la tasse pour ne pas qu'elle se casse lorsque le molosse tomberait sur la table puisqu'il se fit emporter dans son élan. Il soupira lorsque le bois se cassa et s'excusa auprès du propiétaire qui sortait de derrière son bar pour demander ce qu'il se passait. Le garçon déclina son identité.

"Je m'appelle Shitayama Toru, dit-il en enlevant sa capuche laissant apparaître un bandeau noir où se trouvait le symbole du village, ninja de ce village et je ne recherchais qu'à boire un peu de votre exellent chocolat avant ces hommes viennent m'empêcher d'apprécier ce moment."

Toru ne chercha pas plus loin et jeta des pièces dans les mains du barman. Puisi l s'excusa du dérangement et sortir en fesant sonner la clochette. Lorsqu'il fut dehors, il remit la capuche sur ses cheveux noir et se déplaça vers un sentier. Il n'avait pas peu réfléchir à son prochaine entraînement à cause de cet accident. Le Yukiens sentit le froid dans ses jambes et s'avoua qu'il devait premièrement s'habituer à cet horrible climat. Il continua sur ce sentier et après avoir traversé un petit groupe d'arbre, il arriva devant un grand espace blanc où seulement quelques arbre vert perçait cette couleur. Il s'avança et arriva devant un sol glissant. Il s'abaissa et déplaca de la neige. Le sol était glaçé et dessous, Toru remarqua de l'eau. Donc ce grand espace était rempli par un lac gelé. Le vent ici ne passait pas et il n'y avait donc que l'humidité de l'air qui lui donnait des frissons. Il renleva sa capuche et mit sa main derrière son cou pour le masser un peu. Ensuite, il tâta alors le terrain enneigé pour vérifier s'il pouvait s'entraîner ici. Le sol était parfait et Toru en profita pour sortir plusieurs Kunaïs. Chacun leur tour, il le fesait tourner dans ses mains avant de les lançer sur un arbre près duquel il s'était approché. Lorsqu'il eu lançé les six armes, il tendit les bras et hurla : "Soushuuha" Les Kunaï revenir rapidement vers Toru en tournant comme des boomerangs. Puis il se mirent à léviter autour du ninja qui ramennait ses bras le long de son bassin. Il s'accroupi alors et se propulsa en avant. zigzagant vers l'arbre, les armes se mirent à cinqs centimêtre du sol et Toru, lui, sauta en l'air et rapidement propulsa les armes vers l'arme. Il retomba dans la neige, les mains dans la neige. Il en prit un peu et l'empoigna afin de l'écraser. Ensuite, il frappa avec ses pieds dans le vide en se rapprochant lentement vers l'arbre. Lorsqu'il arriva à son chevet, il se mit à frapper du poings, au endroit où il n'y avait pas les armes. Lorsque sa victime fut tranché et marquéde partout, il s'arrêtaet recula un peu. Il remonta la fermeture de son gilet qui lui portait chaud et empêchait le froid de rendre ses mains fragile complêtement viollette. Il se déplaça lentement autour du lac et à chaque tour qu'il fesait, il accélèrait dans sa vitesse. D'un pas nonchalant, il passa à des pas plus rapide pour arrivé ensuite à trotiner etc...etc... Lorsqu'il arriva à la vitesse de course, il s'arrêta, toucha ses quatre poids et sur son visage, se marqua une expression assez étrange. on pourrait croire que cet homme songeait à quelque chose. Et c'était effectivement vrai puisqu'il trouva ses poids trop légers. Il devait absolument en acheter d'autre mais qui aurait une masse beaucoup plus importante que ceux qu'il possède déjà. Il n'allait pouvoir les trouver qu'au village puisqu'au lac, il n'y avait personne. Il leva la tête tout en marchant vers le sentier qui le conduirait vers Yuki Gakure No Sato. Il aperçu pendant un court instant le soleil qui s'était dégagé des nuages. Il était assez bas dans le ciel et contrairement à sa couleur habituel, il avait une teinte orange au reflet rouge. Les nuages possèdait cette couleures orange. si on regardait un peu plus bas, du violet apparaissait. Toutes ces couleurs prouvaient que la nuit tombait lentement sur le pays. Toru devait rapidement rentré. Il allait reprendre son entraînement le lendemain de bonne heure.

Il sortit le lendemain de chez lui avec la même vestes, les même couleur qui ne le degageait pas plus que ça de la douce neige qui tombait à torrent. Le froid, Toru s'en moquait pour l'instant, il s'était réveillé il n'y a pas si longtemps et comme toujours, après un petit déjeuner bien remplis, il n'avait pas la forme. Il s'avançait le long des murs des maisons. Regardant de temps à autre les pancartes avec leur vitrine. Durant la nuit, il avait réfléchit à ce qu'il allait faire aujourd'hui et il avait fini pas conclure qu'il lui fallait des nouveaux poids. Ceux qu'il possèdait était devenu assez leger pour lui et afin qu'il puisse encore augmenter sa vitesse, il devait absolument trouver une boutique qui pourrait lui donner la marchandise convoitée. Il jeta un regard dans l'allée qui se trouvait à gauche et remarqua des cartons où sortaient des morceaux de fer. Il leva la tête vers une pancarte d'information. Dessus était écrit le mot : 体重 taijuu [poids]. Sous sa capuche, un visage se déssina. Il avança rapidement vers cette boutique mais il se fit attirer par la senteur de doux petit pain garnit de chocolat. Il devait sortir du four et Toru ne pouvait se delivrer de cette excellente odeur. Il se stoppa fâce à la vitrine du bâtiment et entra rapidement dans cette maison au couleurs chaudes et vivifiante. Il traina les pieds vers le vendeur qui devait être également le créateur de son futur met. Sa pensée bavait tellement à l'idée de savoir que cette viennoiseries allait toucher le bord de ses lêvres afin de délivrer un goût exptionnel. Toru demanda le pain au chocolat de la vitrine qu'il pointa de son index tremblant. Le marchand s'avança hors de son comptoir et pris soigneusement dans ses mains, le meilleur des aliments de petit-déjeuner. Il le posa en fâce de Toru qui sortit l'argent qui allait être encaissé afin que le pain soit à lui. Il posa les pièces juste à côté de ce qu'il achetait. Ils firent un échange et Toru pris le pain dans ses mains et sortit en remerciant le boulanger. Il fit chanter le pain et l'enfila dans sa bouche. Il n'était pas déçu, ce boulanger avait fait des merveilles en enfournant cette patisseries, car les saveurs qui se succedait était plus délicieuse les une que les autres. Mais ce qu'il y a de dommage dans ce qu'il mangeait. C'était que cet instant ne durait qu'une bref instant. Une minute plus tard, tout avait disparu et Toru, légèrement déçu se reconcentra sur son but premier, il devait acheter des poidS.

Le voilà alors arrivé devant la facade du bâtiment qui lui offrira un nouveau souffle. Il pénêtra dans le bâtiment en bois et remarqua un petit coin où les canapé vert était légèrement enfoncé. Cela doit être surement l'effet des poids lorsque les gens les mettent. Enfin, il allait bien le voir tout à l'heure. En fâce de lui, un comptoir cachait la moitié basse du corps d'un homme au marqué de rides qui prouvait qu'il avait un certain âge. Il demanda à son client s'il désirait acheter des poids et reçu une réponse positif de la part de Toru. ce dernier montra ses poids qu'il possèdait déjà et demanda s'il pouvait en avoir des beaucoup plus lourd. Les rides du vieil homme exprimait un sourire qui fut suivit par une demande du marchand. Il dmeanda à Toru d'enlever ses poids le tant qu'il aille trouver des poids à sa convenance. De l'arrière botuique, il hurlait de sa voix grave, la masse des marchandise. Toru n'était jamais satisfait, car le chuunin voulait une masse très important afin d'accroître énormement sa vitesse de déplacement. Ainsi, car il y réfléchissait déjà, il pourra utiliser cette vitesse afin de créer un genjustu qui tromperait la vue de son adversaire. Donc n'étant jamais satisfait, la masse augmentait encore et ecnore au point d'arriver à une masse qui était cinqs fois plus important que ceux de départ. Toru aquiesca gentillement et le vieux marchand, sortit un peu plus tard avec un carton qu'il déplaçait sur un chariot plat. Il sortit de l'arrière du comptoir et il se déplaca vers le coin au canapé vert. Puis toru qui n'avait pas bougé, paya le prix fort pour sa future puissance et alla rejoindre ses biens. Il ouvrit lentement le carton et dégagea quelque bout de plastique. Le reflet luisant de ses nouveaux poids appellait Toru à les enfiler. Il passa sa main sous le premier et le releva légèrement. Il était effectivement très lourd. Il glissa de ses mains et déplaça de la poussière lorsqu'il tomba au sol. Toru le relevaà la verticale sur la petit table basse qui fesait penser à un pose-pied. Il leva sa jambe droite et enclencha le poids à cette jambe. Il fit exactement la même chose pour la gauche. Il sentait déjà que les poids fesait effet sur lui puisqu'il s'enfonçait légèrement sur la canapé. Il se mit à genoux et allonga les deux poids. Quelques seconde après, il posa la question au vendeur, s'il pouvait avoir la gentillesse de bien attacher ses biens. Celui-ci souria et en s'approchant, répondit positivement. Lorsque les quatre poids furent attachés, Toru essaiya de soulever ses bras puis son corps. Il ne savait encor combien de temps, il allait lui falloir pour s'habituer à cette force qui l'attirait vers le sol. Il savait que s'il devait aller en mission, il le enleverait car sinon, il ne pourrait jamais la remplir. Mais il ne pouvait pas non plus s'entraîner tant qu'il n'avait pas trouvé d'équilibre car lorsqu'il se déplaça vers la porte de sortie, il trébucha plusieurs fois soit ocntre le sol, soit contre le mur. La première étape de son entraînement devait être de trouver cette balançe de poids afin de ne pas tomber.

Il ouvrit la porte et sortit en zigzagant, on aurait dit un homme soul. Sous sa veste beige, les poids de ses bras semblaient plus lourds que ceux des jambes car tant que c'est bras n'était pas stabilisé, il savait qu'il allait gardé cette allure. Il ne marchait pas vraiment, il glissait plutôt lentement sur la neige qui lui arrivait au-dessus des pieds. Il devait absoluement arriver au lacs, où il pourra se concentrer sans être déranger par les bruits de la ville. La route lui semlbait longue et le soleil se levait si rapidement que Toru arriva à une heure environnant les onze, douze heure. Sans l'avoir vraiment ressentit, le sac qu'il possèdeait sur les épaules dpeuis sa sortit de chez lui fesait maintenant un poids énorme et dû être posé. A l'interieur, il y avait la nourriture necessaire à un entrainement en longueur. La trace de son passage s'éffacait rapidement par les doux et froids flocons qui étaient présents très souvent dans ce pays. Toru s'était mit à la verticale et leva les bras, tout ceci lentement. Il alternait les mouvements de frappe entre un coup lent à gauche et un coup lent à droite. Ceux qui n'était pas au courant de ses poids pouvaient penser qu'il était quelqu'un de mou. Ce qui était véritablement le contraire puisque ce qu'il recherchait c'était la vitesse. A force de lever les bras, la fatigue apparaissait mais Toru ne deveait pas lâcher l'affaire puisqu'il avait une volonté de fer de réussir cette entraînement qui était le plus difficile, jamais encouru par le Chuunin qui, aussi, avait besoin d'augmenter sa force et son expérience afin d'être reconnu comme un puissant ninja. Le but final de cet entraînement serait l'augmentation d'un garde, c'est-à-dire, devenir Juunin. Et voilà, il sentait, après s'être restauré quelque peu, qu'il pouvait frapper un peu plus vite. Pas au point de frapper normalement. Le temps passait, encore et toujours, jusqu'à l'instant où Toru eu fini de se restaurer une seconde fois. La soleil devait être à la moitié de sa fin de parcourt et Toru devait être au stade de frapper lentement, lorsque ses mains devenir violet. Le temp passer au ocntact du froid commençait à les geler. il était indispensable qu'il arrête de frapper avec ses mains sinon il était sûr de resentir des concequences pas forcément agréable. Elles se plaçèrent dans les poches de la veste beige et Toru décida alors de continuer en courant. Après les bras, c'était au tour des pieds de s'habituer à cette nouvelle masse. C'est donc après ce court instant de réfléxion que Toru entamma une longue promenade autour du lac, toujours aussi glacé. Le depart était très dur. Un petit pinguin semblait faire le tour d'un point d'eau, avec l'allure de celui qui vient d'apprendre qu'il peut poser un pied devant l'autre. Le ciel s'abaissa dans le ciel, pressé de rentrer se coucher. Il laissa petit à petit l'obscurité rendre visite à Toru qui marchait d'un pas nonchalant. Les pieds glacé, il ne sentait plus rien et continuait d'avançer. Les boutiques abaissait leur store, brouillant ainsi la vue à Toru qui s'activa pour retrouver son sac afin de retrouner trouver un bon lit bien chaud. Enfin, il avait une longue route à faire avant de retrouver une température corporelle normal. Lorsqu'il fut enfin dans sa couche, il s'endormit...

Noir, le Noir absolu. Puis une allée, blanche, éblouissante. L'écho des pas d'un garçon sur cette allée. Toru rêvait, un rêve qui ressemblait étrangement à celui qu'il avait fait lorsqu'il était sur la charette. En face de lui, il y avait une porte complêtement blanche. Il avança vers celle-ci et la poussa comme elle n'avait aucune poignée. Il se retrouva alors sur un toit. Il écarta les yeux lorsqu'il vit en fâce de lui; la scène horrible. L'écho resonnait cette phrase : "Tu n'es qu'un lâche!". Puis le toit disparu et comme inpuissant, Toru tomba encore une fois dans le vide. Il se réveilla en sueur. C'était le même rêve, a quelque point près. Il mit ses mains sur la tête car les voix résonnait encore. Brusquement, il se leva et alla se passer la tête à l'eau froide. Le soleil n'allait pas se lever de sitôt, car il était à peine deux heure du matin. Il retourna dans son lit afin de terminer sa nuit tranquillement.
Le lendemain, Toru avait ses poids et avait déjà commencé à tourner à nouveau en rond autour du lac. L'entraînement devenait lassant et, tourner autour ce lac lui donnait des tournis. Il s'arrêta donc et sentait déjà qu'il arrivait à tenir debout sans tomber en avant ou en arrière. Maintenant, il devait entrainer ses membres de façon à ce qu'il soit suffisamment musclé pour pouvoir retenir les poids. Il s'allongea sur la neige et commença lentement des pompes. A plusieur reprise, il s'arrêtais pour repondre son souffle et cela de façon régulière. Cette façon de s'entraîner lui rapellait vaguement quelque chose mais il oublie vite cela car la pensée de son rêve était revenu. "Tu n'es qu'un lâche !" Toru accelera le ryhtme de pompes. Il allait peut-être surpasser ses limites mais il n'y pensait pas. Sa seule pensée était de devenir assez puissant pour que personne ne puisse encore une fois le traîter de lâche. Si il augmentait assez sa vitesse, il pourrait alors l'utiliser pour ses genjustu. Le genjustu des fleurs était allait être très puissant. Lorsqu'il fut assez fatigué, il prit quelque chose à manger puis reprit un entraînement au combat. il prit pour cible un autre pauvre arbre. Il se trouvait jusqu'à côté de celui qui avait été victime de ses coups la dernier fois. Les pompes l'avait bien mit en forme pour massacrer l'arbre blanchis par la neige qui tombais encore et toujours. Les flocons virevoltaient dans tous les sens. Certains se posaient sur son doux visage refroidit par l'humidité de l'air. Le pauvre arbre souffrait beaucoup mais Toru s'améliorait grâce à lui. Le soleil n'était pas arrivé à son sommet et Toru se fatigueait un peu. Il grignotait de temps à autre. Il fesait de longues séries très épuisante. Il sentait que son corps s'était habitué au poids. Et il allait bientôt s'entraîner à jouer de la flûte afin d'améliorer son expérience dans les techniques d'illusion.

Lorsqu'il s'arrêta, le soleil était presque à son zenith. Toru prit ses affaires et rentra chez lui. Il s'installa Lotus, il ferma les yeux et se mit à réfléchir sur le pourquoi de ce rêve. Est-ce que tant qu'il n'aura pas prouver sa valeur, il le fera ? Est-ce qu'il n'existe pas un moyen de rêver d'autre chose ? Tant d'autre question défilait dans sa tête. Il ne sentit pas alors la fatigué prendre son corps et s'endormi comme une masse sur son lit. Ses jambes s'était décroisées et il semblait parfaitement épanouie. Le soleil était encore haut dans le ciel. Cet entrainement l'avait tellement fatigué. La prochaine fois, Toru allait passer à un entrainement encore plus dur, où il apprendra à augmenter sa vitesse de façon encore plus cruel et éprouvante, car même s'il possèdait de nouveaux poids, il avait réussit à obtrenir une vitesse normal pour un ninja. Donc si jamais il les enlevait, il pourrait alors obtenir une vitesse incroyable. Bien-sûr, il ne fallait pas qu'il oublie d'améliorer sa puissance dans le genjustu.